Paroles Là où les mots s'arrêtent Akhenaton

Là où les mots s'arrêtent

saïd
là où les mots s'arrêtent (échos)
huu hu hu, yeah (échos)
akhenaton
là où les mots s'arrêtent, nos cœurs font place à la force, où la raison invoque les poings font place au morse, une place à la fac contre une à la morgue, pour du ......... une ..... fait face à la mort, on a tous les mêmes souhaits à vrai dire demain, pour certains c'est déjà passé, d'autres c'est loin, parler d'amour on sait peu faire, le gérer non plus, alors dans nos pages on invoque celui pour nos mères, premier stress on encaisse aux cris de nos pères, baston pour un jean avec nos s?urs et nos frères, à 6 ans dans la cour on a rien a pensé, d'autres .... peut être embrasé leur fiancé, là où les mots s'arrêtent, on est qu'un homme, on se.... Ça veut dire qu'on est rien qu'un chien comme un autre, enfant on apprend à marcher pendu par les menottes, plus tard, elles deviennent maintenu par les menottes, alors aimer ? c'est possible, on sait bien, jalouser, critiquer, trahir et haïr, a ceux qu'on a envie on leur parle dans les tippant, les copains d'avant luttant des guetta pants, je ne veux pas d'une vie à zoner siffler les bimbos, tuer mes heures à gratter des bonbons au bingo, ou les mots s'arrêtent, jette au feu ce poème, les poings s'en servent comme une seule réponse aux problèmes.
saïd
là où les mots s'arrêtent, le cœur sort les armes, coincé dans l'impasse, frustré pleine de larmes
là où les mots s'arrêtent, là ou née la tempête, la raison perd la tète, et pas très loin y'a le drame (x2)
akhenaton
parce que la vie s'est se dépasser, il faudra bien qu'on puisse avancer, malgré la pression, tu sais, mettre un peu de cœur a la raison, essaies.
tout ce dont j'ai du m'effacer, que la vie m'a trop enlacé, avis aux questions, j'essaye, mettre un peu de doux dans la saison, tu sais
ceux qui portent en eux le mal, il en vienne ou ils veulent, les plus gentils c'est évidant, eux, ils ferment leurs gueules, quand c'est la merde, nos vies, elles pissent debout, tout c'est tout, je vois la amour comme un film de boules, car la balle monumental ou les filles se déguisent, mon père pardonnez moi, j'ai tué tranquille a l'église, sans modèle référant, la cours est acquise, riche, pauvre, ces gens sont droits comme la tour de ta pise, sur des airs d'amours, ils se font des histoires, convaincues que ça n'arrivera jamais, mais, mais tu sais, les « on dit » c'est le début des histoires, et ceux qui fredonnent « je t'aime » finiront par taper, là où les mots s'arrêtent, non n'espères pas de retour, ........ de la cours n'offrent pas le recours, tout passe par la forte et rare a ceux qui le déplore, car ici on entend ceux qui cris le plus fort.
saïd
là où les mots s'arrêtent, le cœur sort les armes, coincé dans l'impasse, frustré pleine de larmes
là où les mots s'arrêtent, là ou née la tempête, la raison perd la tète et pas très loin, y'a le drame
là où les mots s'arrêtent, le cœur sort les armes, coincé dans l'impasse, frustré pleine de larmes
là où les mots s'arrêtent, là ou née la tempête, la raison perd la tète et pas très loin, y'a le draaaaaaaaame hu hu hu